Tupiza !!!!!
Cette fois, on s'adresse à Calimero pour continuer notre route vers le nord. Pas de bus dans cette direction, et le stop c'est pas la peine d'y penser, la circulation nous semble trop fluide.
Calimero nous emmène dans son pick up jusqu'à Abra Pampa. Il profite du tour payé par les touristes pour emmener sa fiancée, sa mère et deux de ses frères. Ils pensent continuer la route jusqu'à la frontière bolivienne, à la Quiaca où ils feront des courses (beaucoup moins cher!).
Peu après le départ, ils s'arrêtent au bord de la route, près d'un petit sanctuaire, pour faire les offrandes de rigueur à la Pachamama (la déesse-mère, déesse de la terre) et s'assurer un bon voyage. La Pachamama aime que les humains lui offrent un peu de ce qu'ils consomment : boissons, tabac, et tout type de nourriture.
La petite famille verse donc sur le sol un peu des ingrédients apportés exprès: huile, alcool, coca-cola. Pour mettre toutes les chances de notre côté, ils arrosent les pneus de la voiture avec ce qui reste. Ils ont bien fait : 3 pneus sont arrivés sans souci à destination, un seul a crevé.
Calimero a un cric moderne et sans effort: un cric hy-drau-li-que.
Le seul souci, c'est que le liquide à l'intérieur de l'engin, a gelé. Le fond de l'air est frais à cette altitude.
Il faut donc attendre le dégel.
Le dégel ne vient pas, malgré les bons soins de Calimero, de la fiancée et de la maman.
La petite troupe décide de faire un feu pour activer le réchauffement de la chose.
On part en quête de petit bois.....et paf, un véhicule arrive en sens inverse. Finalement, ca circule dans le coin!
C'est le même véhicule exactement, avec le même cric, mais en état de marche! Si c'est pas un coup de la Pachamama, là!....
On repart donc vers Abra Pampa. Là-bas, on pense prendre un car pour arriver en Bolivie. On ne sait pas trop quand il en passe....Aujourd'hui? demain?
Calimero nous dépose à la "terminal de omnibus". Vite, le car part ....Timing parfait, après la longue pause qui aurait pu paraître approximative!....
Tout s'enchaine au quart de poil, c'est ici que la pachamama cloue le bec aux septiques !
ET C'EST PAS TOUT!!!
Taxi côté argentin pour aller à la douane - formalités - quand on sort du bureau, le douanier nous apprend que pour Tupiza, le train devrait partir dans 1/2h - taxi côté bolivien pour aller à la gare ... et on attrape le train (qui ne passe que 3 fois par semaine) en direction de Tupiza!
Quand le train est sur le point de partir, un agent SNCF local vient sonner la cloche. Puis quand le train est à nouveau sur le point de partir, quelques minutes plus tard, un autre agent vient sonner la cloche. On l'a entendue 3 fois ce jour là.
On arrive à Tupiza en même temps qu'une bouffée de souvenirs. On pense très fort aux hebiz. En passsant dans le défilé où on s'était joué un western, en passant sous le tunnel où on avait fait les malins à cheval, en retrouvant notre hôtel préféré,en allant voir les sorcières au marché, en évitant la comida turistogène, en se moquant des toutous (les chiens, pas les touristes) habillés comme les toutous à sa mémère...
Calimero nous emmène dans son pick up jusqu'à Abra Pampa. Il profite du tour payé par les touristes pour emmener sa fiancée, sa mère et deux de ses frères. Ils pensent continuer la route jusqu'à la frontière bolivienne, à la Quiaca où ils feront des courses (beaucoup moins cher!).
Peu après le départ, ils s'arrêtent au bord de la route, près d'un petit sanctuaire, pour faire les offrandes de rigueur à la Pachamama (la déesse-mère, déesse de la terre) et s'assurer un bon voyage. La Pachamama aime que les humains lui offrent un peu de ce qu'ils consomment : boissons, tabac, et tout type de nourriture.
La petite famille verse donc sur le sol un peu des ingrédients apportés exprès: huile, alcool, coca-cola. Pour mettre toutes les chances de notre côté, ils arrosent les pneus de la voiture avec ce qui reste. Ils ont bien fait : 3 pneus sont arrivés sans souci à destination, un seul a crevé.
Calimero a un cric moderne et sans effort: un cric hy-drau-li-que.Le seul souci, c'est que le liquide à l'intérieur de l'engin, a gelé. Le fond de l'air est frais à cette altitude.
Il faut donc attendre le dégel.
Le dégel ne vient pas, malgré les bons soins de Calimero, de la fiancée et de la maman.
La petite troupe décide de faire un feu pour activer le réchauffement de la chose.
On part en quête de petit bois.....et paf, un véhicule arrive en sens inverse. Finalement, ca circule dans le coin!
C'est le même véhicule exactement, avec le même cric, mais en état de marche! Si c'est pas un coup de la Pachamama, là!....
On repart donc vers Abra Pampa. Là-bas, on pense prendre un car pour arriver en Bolivie. On ne sait pas trop quand il en passe....Aujourd'hui? demain?
Calimero nous dépose à la "terminal de omnibus". Vite, le car part ....Timing parfait, après la longue pause qui aurait pu paraître approximative!....
Tout s'enchaine au quart de poil, c'est ici que la pachamama cloue le bec aux septiques !
ET C'EST PAS TOUT!!!
Taxi côté argentin pour aller à la douane - formalités - quand on sort du bureau, le douanier nous apprend que pour Tupiza, le train devrait partir dans 1/2h - taxi côté bolivien pour aller à la gare ... et on attrape le train (qui ne passe que 3 fois par semaine) en direction de Tupiza!
Quand le train est sur le point de partir, un agent SNCF local vient sonner la cloche. Puis quand le train est à nouveau sur le point de partir, quelques minutes plus tard, un autre agent vient sonner la cloche. On l'a entendue 3 fois ce jour là.
On arrive à Tupiza en même temps qu'une bouffée de souvenirs. On pense très fort aux hebiz. En passsant dans le défilé où on s'était joué un western, en passant sous le tunnel où on avait fait les malins à cheval, en retrouvant notre hôtel préféré,en allant voir les sorcières au marché, en évitant la comida turistogène, en se moquant des toutous (les chiens, pas les touristes) habillés comme les toutous à sa mémère...